Exacerbation brusque et transitoire d’une douleur préexistante, ou poussée douloureuse intermittente se produisant lors spontanément lors d’une activité spécifique
Sensation localisée aux extrémités, et pouvant se manifester par de l’engourdissement, des fourmillements, des sensations de gonflement du volume des doigts
Dépendance psychologique caractérisée par un désir constant d’un opioïde et le besoin de l’utiliser pour obtenir des effets autres qu’un soulagement de la douleur.
Nucléotide qui outre son rôle de réserve énergétique cellulaire, est aussi un neurotransmetteur impliqué dans les phénomènes ischémiques. Il possède une action algogène par activation des récepteurs purinergiques P2. Il
Méthode ou médicament utilisé dans le but d’améliorer l’efficacité d’un traitement antalgique, permettant souvent d’en réduire les doses et le risque d’effets indésirables
Neurone qui transmet les influx sensitifs (dont la douleur), du système nerveux périphérique au système nerveux central ; également appelé neurone sensitif
Analgésique ayant pour les récepteurs opiacés une affinité plus forte que la morphine, mais avec une activité intrinsèque inférieure. Il a un » effet-plafond ».